*Le soleil se lève sur Monts-Et-Merveilles*
Dans les champs piétinent les corneilles
Les perles du matin scintillent sur le sol
Alors que les ombres trépassent doucement
Comme l'ivrogne déchu sans sa goutte d'alcool
Se laisse choir dans la dorure du matin sur un banc,
*Les rayons s'étirent dans la pénombre*
Dissipent le royaume des ombres,
Le chant du côr vibre dans l'horizon
Les bannières s'élançent dans le vent
Tous les coeurs battent à l'unisson
Se déversent en tonnerre et hurlements,
*Sur les hauts de Hurlevent*
Jamais la terre ne connut pareil ouragan,
Sous l'éclat des épées
Les boucliers se brisèrent,
Pour faire la paix
Ils partaient en guerre.
"Clameurs sur Hurlevent", Tristan Harribey, 11/03/2009
Un mot: magnifique. L'aime vraiment besucoup. Merci Tristan.
RépondreSupprimerOup's pardon petits problèmes avec mon clavire. Tu dois plutôt lire: J'aime vraiment beaucoup
RépondreSupprimerJe suis ravi que ça te plaise, ma chère Sue :)
RépondreSupprimerLe pouvoir des mots! Tu pourrait aisément devenir le maître du monde si tu continu dans cette voie! mdr
RépondreSupprimerSplendide poème!
Biyous