
samedi 26 décembre 2009
Merry Christmas, folks !

jeudi 5 novembre 2009
Bien dans ses baskets...
Eloge à une chaussure... on aura vraiment tout vu!
dimanche 25 octobre 2009
I'll Be There For You...

J’en parle souvent avec beaucoup d’émotions car les six personnages (Rachel, Phoebe, Monica, Ross, Chandler et Joey) sont très attachants et correspondent à une part de nous-même avec laquelle on se sent en pleine harmonie. On se retrouve ainsi intégrés dans ce groupe d’amis new-yorkais, prenant part à leurs mésaventures, à leur joie et à leur peine, sur un fond de normalité étonnante. Tout le monde a déjà vécu certaines situations qui ébranlent le scénario, nous faisant rire aux larmes, ou bien nous émouvoir de manière poignante.


"I'll be there for you, When the rain starts to pour, I'll be there for you, Cause you're there for me too..."
mardi 20 octobre 2009
Oh my God, a goldfish !!!
I felt in love with a goldfish!
vendredi 2 octobre 2009
Sing, sang, sung...
Au-delà de la musique et des instruments, la voix reste maître d’une mélodie et nous étreint avec plus de vigueur car c’est là que réside l’âme et son cortège d’émotions. A mon sens, chanter c’est comme se mettre à nu, dévoiler une part profonde et intime de soi-même, c’est ainsi qu’on se surprend à marmonner des airs lorsque nous sommes seuls, sûrs que personne ne viendra nous entendre. Une voix peut nous percer de part en part, atteindre notre intimité spirituelle de manière brutale, on a l’impression de comprendre chacun des mots, de sentir les notes vibrer dans notre corps.


dimanche 27 septembre 2009
A strange short story of madness...
C’est dans un élan de courage que j’ouvris enfin mon cahier, les pages entremêlées dans un ramassis de mots mâchés et recrachés sur la candeur innocente du candide tissu. Mes mains s’égaraient sur les bords acérés des fines lamelles de papier, virevoltant en l’air l’espace d’un instant pour s’écraser lourdement sur les précédentes.
Des néons sans transparence jetaient un faible halo sur la table, tandis qu’au dehors, la pluie battait les vitres à tout rompre, inondant ma vue de brume et de ténèbres. Le temps s’était comme suspendu, les gens tout autour s’étaient figés dans une morne immobilité, mes pensées surgissaient en vagues incessantes sur le rivage de ma conscience, me submergeant d’interrogations futiles, à la limite de l’inutile.
Cependant je continuais à tourner les pages, inlassablement, jusqu’à trouver mon butin, une malheureuse écriture bleue scintillait au centre, tâchant la blancheur subtile du papier. Et ma main tremblait de tout son long, les crayons, cachés dans l’ombre de la trousse entrouverte semblaient me lancer des signaux de détresse. J’en saisis un, l’empoignant de toute mes forces comme pour le traverser de mon aura créatrice. Puis sa mine glacée glissa sur la feuille, patinant avec élégance sur le parterre enneigé, laissant derrière elle une traînée de lettres noires et brillantes.
L’assaut du silence me semblait désormais moins oppressant, je me sentais bien. Le monde autour de moi tourna de nouveau, j’étais emprisonné dans une bulle antisismique, me réfugiant de l’activité frénétique du dehors.
Puis, au fur et à mesure que mon crayon parcourait les lignes, je tournais les pages, les noircissais encore et encore.
Soudain la porte s’ouvrit dans un fracas destructeur, je fus tiré de mon monde par une force tellement sauvage que j’hurlais, seul, au milieu de la salle, les yeux obnubilés par la silhouette qui s’avançait vers moi et qui murmura d’une voix caverneuse:
- Tu écris dans le vide, Jack, tu dois rejoindre ta cellule maintenant.
samedi 19 septembre 2009
A champagne supernova in the sky...
Comme sous un ciel nordique, l'hiver affiche ses couleurs les plus douces.
Une explosion vitaminée, des couleurs chaudes par une triste journée d'automne.
Quand les ténèbres tombent sur le monde dans un éclat sanglant.
Lorsqu'Hélios plonge dans l'océan, son cortège de lumière derrière lui. Photo prise sur la côte de St jean-De-Luz (Pays Basque)
Photos de Tristan Harribey.